Les Fermes de Marie : Une Saga Alpine Éclatante
Dans les replis enneigés des Alpes françaises, où les sapins centenaires veillent sur des vallées sculptées par le temps, naquit un rêve qui transformerait un humble hameau en joyau de l’hospitalité. Nous sommes au XIIIe siècle, lorsque les moines de l’abbaye de Cluny fondent Megève, un modeste village agricole niché à 1 113 mètres d’altitude, sur la route commerciale entre Genève et l’Italie. Des pâturages verdoyants aux pentes enneigées, Megève somnole pendant des siècles, jusqu’à ce qu’en 1916, une visionnaire baronne, Noémie de Rothschild, y dépose les premières traces de skis. Bientôt, la station devient le playground des élites parisiennes, un havre chic où l’élégance rencontre la neige vierge. Mais c’est en 1981 que l’histoire des Fermes de Marie s’entame vraiment, portée par une famille passionnée : les Sibuet.
Jean-Louis Sibuet, hôtelier visionnaire originaire de Megève, et son épouse Jocelyne, amoureuse des traditions savoyardes, décident de redonner vie à l’âme rurale de leur terre natale. Inspirés par les fermes ancestrales – ces bâtisses en bois patiné par les hivers rigoureux –, ils lancent en 1989 Les Fermes de Marie, un ensemble de neuf chalets assemblés à partir de matériaux récupérés de fermes centenaires démontées dans les montagnes environnantes. Ce n’est pas qu’un hôtel cinq étoiles : c’est un hommage vivant à l’authenticité alpine, où les poutres noircies par la fumée des cheminées cohabitent avec des tissus jacquard aux motifs floraux, des meubles en noyer sculptés à la main et des objets d’artisanat savoyard. L’ouverture officielle, en 1994, marque un tournant : les Fermes de Marie deviennent le sanctuaire des voyageurs en quête d’un luxe discret, loin des paillettes ostentatoires. Jean-Louis, avec son flair pour les affaires, et Jocelyne, avec son œil pour les détails poétiques – comme ces bouquets de fleurs des montagnes cueillis chaque matin –, transforment l’endroit en un havre familial, où les générations se succèdent autour de fondues au fromage et de contes au coin du feu.
Au fil des années, les Sibuet tissent un empire subtil autour de Megève. En 1992, ils ouvrent le Flocons de Sel, restaurant triplement étoilé au Michelin sous la houlette du chef Emmanuel Renaut, où les produits locaux – fromages d’alpage, charcuteries fumées – se muent en symphonies gastronomiques. Puis viennent Le Lodge Park, un hôtel plus intimiste, et L’Épicerie des Fermes, une boutique gourmande au cœur du village, regorgeant de terrines maison, de vins de Savoie et d’objets artisanaux. Mais au-delà des murs, les Fermes de Marie incarnent un art de vivre : des ateliers de poterie, des randonnées en raquettes, des fêtes de village où l’on danse la valse sous les guirlandes lumineuses. Jean-Louis et Jocelyne, parents de trois enfants – Marie, Antoine et Charles –, impliquent leur progéniture dans l’aventure, perpétuant un legs familial qui fait des Fermes un pilier de Megève, employant plus de 200 personnes et attirant une clientèle fidèle, de familles royales aux stars discrètes du cinéma.
Pourtant, dans cette symphonie alpine, il manquait une note d’éclat pur : celle des cieux illuminés. Megève, avec ses nuits cristallines, s’est toujours prêtée aux feux d’artifice, ces explosions de joie qui percent l’obscurité hivernale. Dès les années 2000, lors des fêtes du 14 juillet ou des veillées de Noël, des spectacles pyrotechniques embrasent le ciel au-dessus du Mont d’Arbois, visibles depuis les terrasses des chalets des Fermes. Mais c’est avec l’arrivée de PHILEVENTS, en 2010, que l’étincelle se fait partenariat magique. Basée à Chambéry, en Savoie, cette entreprise familiale, fondée par des artificiers passionnés, excelle dans la création et la réalisation de feux d’artifice sur mesure pour mariages, séminaires et événements privés dans les stations de ski de prestige comme Megève.
Parmi leurs joyaux : les feux d’artifice de proximité, ces installations compactes et sécurisées (distance de sécurité de seulement 25 mètres), idéales pour les jardins intimes des chalets ou les terrasses surplombant la vallée. Lancés lors de réceptions privées – anniversaires somptueux, mariages sous les étoiles –, ces feux déploient des séquences minutieusement chorégraphiées : gerbes dorées évoquant les lumières des fermes d’antan, cascades argentées mimant les chutes de neige, et bouquets en éventail pour un final grandiose, sans besoin d’un vaste espace. Pour les occasions plus intimes, PHILEVENTS propose ses feux d’artifice automatiques, ces “valises pyrotechniques” portables et prêtes à l’emploi – de 3 à 7 minutes de pur émerveillement. Pas d’artificier requis : un simple déclencheur, et le ciel s’embrase en cœurs rouges pour un mariage, en étoiles filantes pour un Nouvel An familial. Certifiés CE et respectueux de l’environnement, ces systèmes autonomes, conçus avec des partenaires comme ARDI SA, leader de la pyrotechnie française, s’intègrent parfaitement à l’esprit des Grands hôtels et/ou restaurants : accessibles, élégants, et sans trace laissée derrière eux.
Aujourd’hui, en 2025, alors que Megève bourdonne au rythme de ses grands événements – la Fête de la Musique, les Crêtes du Mont-Blanc ou les veillées de la Saint-Sylvestre –, PHILEVENTS continue d’illuminer les mémoires. Imaginez : une noce au Chalet Reine des Prés, où un feu automatique PHILEVENTS déploie ses effets en synchro avec un quatuor à cordes ; ou un séminaire au Plein Sud, ponctué d’un spectacle de proximité qui fait danser les ombres des sapins. Jean-Louis et Jocelyne, désormais grands-parents, veillent sur cet héritage, tandis que leurs enfants portent la flamme. Les Fermes de Marie ne sont pas seulement un lieu : c’est une histoire en perpétuelle renaissance, où le bois craque, le vin coule, et les feux d’artifice rappellent que, sous les Alpes, chaque nuit peut devenir une constellation.
©PHILEVENTS 2025